Kyooki : La Ville-Mère
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Incarnation de la folie décadente, puissance abstraite aux envies meurtrières. Car la ville est tout et que tout est la ville. Venez découvrir une nouvelle forme de déicité malsaine et écrasante.
 
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 Serena Clayson

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Serena Clayson

Serena Clayson


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Date d'inscription : 13/01/2012

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MessageSujet: Serena Clayson   Serena Clayson EmptySam 14 Jan - 0:08

SERENA CLAYSON

Serena Clayson The_kids_are_alright_by_lychi

    Nom & prénom : Serena Clayson

    Âge, poids, taille & profession :
    8ans, 21kg, 1m43, écolière, américaine.

    3) Physique :
    Frêle jeune fille de bas âge, Serena ne se distingue pas particulièrement de ses semblables. Passant le plus clair de son temps dans les rues et ruelles à fuir les autorités soucieuses de son bien-être, on peut aisément remarquer chez elle une maigreur relative à sa mal nutrition. La nourriture ne court pas toujours les rues, si bien que son corps s'en fait souffrir. Elle est vêtue des vieux chiffons et vêtements qu'elle trouve ici et là, ou parfois qu'elle vole. Généralement sale, poussiéreuse ou boueuse, son principal soucis vestimentaire se situe au niveau des pieds. Pour sûr, si les chemises et les pantalons d'adultes peuvent toujours être modifiés, coupés, serrés d'une ficelle, les souliers, ça se corse. Et des souliers d'enfant, ça ne cours pas les ruelles. Aussi s'est-elle résignée à demeurer nue-pied, argumentant avec jovialité que ça lui permet d'être plus discrète...

    Ces temps-ci cela dit, elle porte une petite robe découpée dans une chemise d'adulte, par-dessus son vieux chandail qu'elle traîne depuis le tout début de son éveil. Un petit ruban bleuté lui serre la taille, retenant du fait même les rares effets personnels ou volés qu'elle cache sous la dite robe.

    Outre le côté vestimentaire, c'est une jolie jeune enfant aux cheveux courts, blonds et gras. Le tout lui dérange très peu, et son jeune âge la laisse totalement indifférente à cet état de fait. Elle a des yeux verts relativement banaux, un petit nez retroussé qui lui confère un aspect malicieuse. Un minois jadis rondelet, désormais creusé par la fatigue, les cernes et la maigreur, elle n'en perd néanmoins pas ses traits enfantins.

    À son cou, une vieille médaille de militaire, portant les informations suivante :
    Ordwald, Charles, Ed.
    159064046512545USN
    B+
    Protestant Kyookois

    2) Mental :
    Lui, il se souvenait toujours d'elle. Et elle se souvenait toujours de lui. C'était le soucis. Comme elle se souvenait de lui, elle se demandait s'il existait pour de vrai. Elle était pas sûre. Personne ne le remarquait, alors que elle, elle était poursuivie. Charles arrivait toujours à se cacher rapidement des adultes. Elle, moins. Soit il était un fantôme, soit il était vraiment doué ! Elle avait cette médaille, qui, il dit, était à son père. Et elle l'avait enfilée. Il avait la même. Ils étaient de vrais frères et soeurs, maintenant. Lié par le collier !

    Mais... il existait, ou pas ?

    Elle savait pas. C'était comme ça. Elle savait pas grand chose.
    C'est lui qui savait tout, alors elle l'écoutait, et elle lui obéissait. Quand il voulait qu'elle l'attende quelque part, elle le faisait. Quand il lui disait de se cacher, elle le faisait. Quand il disait : Attention, Sery !, éh bah, elle faisait attention. C'était vraiment son lampadaire. Avec lui, elle pouvait sourire. Et elle souriait toujours, d'ailleurs ! Il disait que son sourire illuminait sa cage de vitre comme l'électricité. Elle était joviale, enthousiasme, enjouée, et elle trouvait un moyen de s'amuser avec n'importe quoi.

    Elle se sentait en sécurité, elle se sentait guidée. Elle n'avait pas peur des inconnus, de ces drôles de personnes qui changeaient de vie du jour au lendemain. La naïveté et la candeur l'empêchait même de craindre les aléas de la ville. Son père avait été happé, certes, et puis ? Elle ne s'en souciait même pas. Elle se disait que c'était dans le cours des choses. Elle ne songeait pas aux choses trop compliqués, elle ne tentait pas de rationaliser, elle prenait les choses comme elles venaient, comme un grand jeu grandeur nature où elle jouait avec Charles.

    Le but du jeu ? Ne pas se faire manger. Ne pas se faire engloutir par le très noir. Il fallait aussi jouer à être sage, pour ne pas rendre maman Kyooki fâchée. C'était un drôle de jeu, avec des règles plutôt vagues que Charles lui expliquait au fur et à mesure. Il faut dire qu'il avait pas l'air lui-même de savoir le jeu...

    Comme dans tous bons jeux, il avait des gens à éviter, aussi. Ceux qui menace de mettre à « Game Over » le jeu. C'est ce qu'il lui disait. Il avait une charte de 1 à 5, le premier étant le plus important à éviter, selon Charles, et le cinquième le moins important. Il avait les les adultes éveillés, puis les gaijins criminels, et les services sociaux, et la police, et les gaijins en général.

    Il avait des alliés, aussi ! Enfin, c'était un jeu complexe. Et elle ne s'ennuyait jamais.


    1) Souvenirs :

    - Maman, je m'ennui. Si on jouait à cache-cache ?

    Elle se fait un peu vieille pour ce jeu ? Mais non ! Sa mère finit par se résigner, elle soupire, se frotte la nuque. Elle sent quelque chose d'étrange ces jours-ci, la mère. Elle ne sait pas tout à fait ce que c'est. Cette petite fille la réveille avec jovialité le matin, et il lui prend toujours un moment pour la dévisager, le temps de se souvenir d'elle. Puis, elle se souvient. C'est comme ça. Comme quand on s'éveille et qu'on ne reconnaît pas la pièce dans laquelle on est. Ensuite, ça recommence le lendemain matin, ou celui d'après. Elle se dit que ce doit être la pré-ménopause, elle ne le sait pas. Elle n'avait jamais été mariée. Cette certitude non-mariage, de célibat lui fait croire qu'elle a adoptée la petite fille devant elle. Elle ose pas trop le lui demander. Est-ce que ça se demande ? Sourire stupide et hypocritement rassurant.

    - Tu comptes ! s'écrit la fillette en prenant déjà la poudre d'escampette.

    Les yeux fatigués de la mère observe ainsi sa «fille» s'enfoncer dans le jardin devant elle. « Ne dépasse pas la clôture ! » l'avertit-elle avec automatisme, élan d'instinct maternelle. Elle a du mal à se souvenir quel âge elle a. Elle l'observe, et réfléchie. Sept ? Dix ? Quand a-t'elle fêté son dernier anniversaire ? Lui a-t'elle acheté quelque chose ? La jeune fille n'est plus dans son champ de vision. Elle est cachée. Elle cesse de compter, déclarant qu'elle ne peut absolument pas avoir plus de seize ans, quand même. Alors, elle arrête de compter à seize. Elle jette un oeil à sa montre, angle le chef, puis se rappel avec surprise qu'elle doit faire à dîner.

    Lasse d'attendre sans signe d'être cherchée, la fillette sort de sa cachette. Le nez en premier, observant les alentours avec prudence. Au cas où. Puis la tête, et finalement elle se décide à sortir complètement, époussetant sa robe. Maman l'a encore oublié. Elle le sait. Un soupire traverse ses lèvres un court moment, puis elle reprend son sourire. C'est pas grave si maman est malade. C'est normal. Papa est pas revenu, hier. Il a été happé. La ville l'a engloutie. Mais ça... maman ne le sait pas. Et elle... et elle, elle lui dira pas. Elle serait triste, et déstabilisée. Il faut être forte pour elle. Les adultes ne comprennent pas ça.

    Elle rentre. Le dîner est en cours. Elle se glisse l'autre côté du comptoir, et enlace sa mère de ses deux bras, handicapant ses mouvements. Sa mère se raidit. Elle accentue son sourire pour cacher sa tristesse.


    - Je t'aime, maman, lui dit-elle, avant d'enfin la relâcher et grimper à l'étage.

    Elle avait demandé à son professeur, à l'école. Est-ce que c'est possible que les adultes oublient leurs enfants ? La maîtresse avait dit que oui, que c'est une maladie. L'alz-truc, qu'elle a dit. Alors elle a acquiescé. Et elle a dit qu'elle prendrait soin de sa mère. Puis, sa maîtresse l'a jetée hors de sa classe, le lendemain, en disant qu'elle était dans la mauvaise classe. Et pourtant, il faut être idiote pour se tromper, si ? Alors elle était rentrée chez elle, prétextant que le professeur avait donné congé. Puis, elle y était retournée le lendemain, puis, elle avait encore été jetée, et ses amies, éh bien ses amies, elles s'en souvenaient plus, d'elle. Alors elle passait ses journées dehors, dans la rue, à jouer. Et elle se faisait de nouveaux amis différents tous les jours, qui, parfois, n'étaient plus là le lendemain. Et elle rentrait, le soir, à l'heure où l'école termine, et elle jouait avec sa mère. Qui l'oublia.

    Et elle rentrait, le soir, à l'heure où l'école termine, sur le bout des pieds, et remarquait qu'elle n'avait plus de chambre, plus de photo, plus de rien. Alors elle ne rentra plus, le soir, à l'heure où l'école termine, et elle jouait avec les fleurs. Qui, elle était sûre, étaient pas capable de disparaître, parce que les fleurs, ça fait parti de la ville.


    5) Particularités :
    On pourrait dire qu'il y a eu deux particularités à se manifester.

    La première est sans contredit inconsciente. Retrouvée du jour au lendemain dans une ville dangereuse, sans toit ni parents, orpheline de l'heure après l'heure, le choc a inévitablement été brutal. Elle ne le remarque pas, elle n'y songe même pas, mais inévitablement quelque chose s'est opérée. Or, incapable à elle seule, de manière consciente, de faire face à la chose, on l'a fait pour elle. Charles. Une hallucination interactive qui pourrait s’apparenter à un ami imaginaire, si on oubliait le fait que ses coups portent des bleus en bonne et dû forme. À la fois guide et bourreau, il illustre le conflit intérieur de la jeune Serena, oscillant entre la peur et la curiosité.

    Quant à la deuxième particularité, qui cette fois-ci se révèle de façon beaucoup plus physique, c'est arrivé une semaine après son éveil. Charles était déjà entré dans sa vie, ou dans sa tête, pour la nuance... Il lui avait parlé de ces dégoûtantes choses-là qui arrivent parfois. Elle, elle le voyait comme un pouvoir magique. À quelque part, elle avait hâte que ça se manifeste. Et ça se manifesta. Ce n'était rien de très magique, finalement. Même que ça la dédaigne un peu. Ça la rend maladroite. Un peu laide, aussi. Mais spéciale ! Elle avait voulu être une fleur, après tout, non ? Il faut faire attention à ce qu'on souhaite, parfois...

    Des racines engloutissaient son pied et grimpaient jusqu'à sa mi-cuisse, s'enfouissant sous sa robe. Ses jambes, ainsi enracinés à... qui sait ? étaient généralement raides et dures à plier. L'avantage, c'est qu'elle n'avait plus besoin de souliers, mais de se trouver des pantalons longs pour cacher ça. Elle ne sentait plus le sol sous ses pieds, ce qui n'aidaient en rien son agilité. Les racines l'encombraient complètement, se mouvant parfois comme des entités indépendante le long de sa chair, perçant sa peau pour continuer sa route contre l'os.

    Du coin de l'oeil, elle les accusa de monter de plus en plus haut... C'est quelques demi-millimètres... c'est quelques cauchemars mais... n'est-ce pas, qu'ils montent ? Ils montent, hin ? Ils la mangeront, hin ? Elle sera vraiment une fleur ? C'est un peu inquiétant...


    4) Éveil :
    - Charles, pourquoi personne se souvient de nous ?

    - C'est parce qu'ils sont malades, Sery. Tout le monde est malade. Malades et aveugles. Ils sont tous comme ça, les miens aussi, les tiens aussi, tout le monde sauf nous, et un peu d'adultes. Ils sont tous malades, c'est triste, mais on s'en fiche. Nous, on l'est pas, et si on l'est pas, c'est parce que la Ville a voulu qu'on le soit pas. Tu comprends, Sery ? C'est ta nouvelle maman, maintenant. Les murs, les roches, les fleurs. Tout ça, c'est notre famille, maintenant. Il faut les écouter attentivement, on est les seuls qui savent l'écouter. Tu m'entends, Sery ? Écoute la ville. Tu seras comme... comme la petite indienne dans le film. Tu m'suis ? En synchronie avec la nature, enfin euh... l'urbain !

    - Je comprends rien à ce que tu racontes, tu sais.

    - Je sais, c'est pas grave, j'te protégerai. J'serai ton nouveau grand-frère.

    - Ah... Alors tu es une roche ou une fleur, Charles ? Moi, je veux être une fleur.

    - J'suis un lampadaire !

    Et les deux enfants pouffèrent de rire, avant que la plus jeune ne se glisse à proximité du plus âgé, et ne s'endorme à sa dextre. C'était son meilleur ami. Elle l'avait rencontré, une fois, en traînant dans la rue. Elle s'était réfugiée dans son repaire à lui. Il l'avait dévisagée, menacée avec un couteau, plaquée au mur, et un tas de trucs déplaisants, mais ils avaient fini par être amis. C'était peut-être à force de l'harceler et de le suivre partout ? En tous cas, maintenant, il l'aimait bien.

    Charles lui a tout appris. Tout sur la ville, tout ce qu'il savait, ce qui était très peu. Il lui apprenait comment écouter les choses pour ne pas être happée comme son père, et il lui apprenait aussi à jouer pour ne pas perdre la tête. Il lui apprenait à éviter les adultes, parce qu'il disait qu'ils étaient cinglés. Que c'était normal. Les adultes... ça n'imagine plus. Or, sans imagination, comment pourraient-ils considérer possible la réalité de la ville ?

    Elle lui devait tout. Il lui trouvait nourritures, vêtements, et plein de drôles de choses. Ça faisait longtemps. Il n'avait pas de soleil, mais elle savait compter les jours, parce qu'elle était fatiguée au moins une fois par nuit, et elle se disait que ça signait un nouveau jour. Comme ça, elle savait que ça faisait au moins 2 semaines qu'elle était avec Charles.

    Cela dit, c'était drôle, parce que... Charles mangeait jamais, lui.


    _________________

    Histoire :
    ...

    Mot du joueur :
    Personnage boulet ? Certes. Elle va mourir vite fait ? Probable ! Je voulais faire un truc relativement naïf pour bien m'immerger dans l'univers. Si elle dure, tant mieux ! J'apprendrai les aléas du forum avec elle, et on verra bien ce que ça donnera. Elle a été créer de manière 'handicapante' simplement pour le plaisir de jouer un personnage fortement imparfait, avec un tas de difficultés pas que mentales qui rendront les choses plus amusantes.

    Quant au reste. Suivez les chiffres. Ça ira mieux.
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MessageSujet: Re: Serena Clayson   Serena Clayson EmptyDim 15 Jan - 19:28

Hoho. Hohoho. J'aime voir chaque joueur exprimer sa propre vision de la ville à travers un habitant banal et malchanceux. C'est souvent assez triste, je trouve, ta fiche l'était tout du moins. Surtout le passage avec la mére qui ne reconnait plus son enfant et qui l'oublie. L'ignorance et la naïveté de la jeune fille sont par ailleurs très bien représentées.

J'ai noté depuis ton arrivée que tu faisais parfois quelques fautes assez grosses, mais elles sont assez rares, et qui suis-je pour te reprocher cela ? Il y a un léger manque de fluidité sur certains passages, enfin disons que tout n'est pas de qualité égale, mais de la même façon j'aurais bien du mal à te reprocher une telle chose.

J'aime bien l'approche que tu as de ton personnage, et l'utilisation que tu comptes en faire. J'ai l'impression que les rencontres qu'elle va faire vont être décisives. J'ai hâte de voir ça.

Bref, validée du coup, la Serena.

Juste un détail, mais c'est pas ta faute, j'ai pas encore changé le contexte pour le dire : Mais dans la tête des Gaijins, la ville ne s'appelle pas "Kyooki". C'est un nom donné par les éveillés et relativement popularisé, mais dans la tête des éveillés c'est une question qu'ils ne se posent simplement pas. Donc théoriquement sur la médaille, il ne peut y avoir "Kyookois". A la limite plus un truc comme "Habitant de" ou "Ville de naissance : " Et un blanc de la taille d'un nom de ville moyen.
Voila, désolé de t'embêter avec ce détail, sinon j'me souviens pas d'autre chose de gênant.
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MessageSujet: Re: Serena Clayson   Serena Clayson EmptyLun 16 Jan - 1:49

Ouais, je me relis rarement, ça me gonfle. Je tenterai de faire gaffe ! Quant au manque de fluidité, c'est probablement parce que j'ai fait cette fiche étendu sur une journée, en faisant les parties qui m'arrangeaient quand elles m'inspiraient, sans même d'idée au départ, construisant au fur et à mesure... Inévitablement, ça doit finir un peu étrange !

Quant à la médaille, remarque. Protestant. Soit, religion. C'était écrit sur la médaille des soldats, pour les rites funéraires. Alors, elle a rayé le protestant pour écrire «Kyokoois», en guise de «religion». C'est donc pas la ville ! =)


Edit : Crotte, c'est mon compte joueur. Ça dérange ? ^^'
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Klim
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MessageSujet: Re: Serena Clayson   Serena Clayson EmptyLun 16 Jan - 18:25

Construire un personnage au fur et et à mesure ça se fait, mais c'est sûr que si tu relis pas derrière y'a toujours quelques petits problèmes. Ayant rarement le courage de relire, je ne vais pas te le reprocher, mais honnêtement je pense qu'il est très important de se relire, ne serait-ce que pour progresser.

Mes plus plates excuses pour cette histoire de Kyookois, j'avais pas capté, pour d'obscures raisons. Je m'étais bien dit que barrer une religion pour mettre là où on habitait c'était étrange, mais "Kyookois" ne voulait absolument rien évoquer d'autre dans ma tête. C'était pourtant assez clair !

(Sinon, c'est bien avec le compte joueur qu'il faut répondre une fois validés, donc pas de soucis. (: )
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